Des journalistes qui supputent...et d'autres qui rabâchent leurs vieilles lunes

Publié le par Claudine Jourdan Gérard

Des journalistes qui supputent...et d'autres qui rabâchent leurs vieilles lunes
La Dépêche de Brest du 1/7/21

La Dépêche de Brest du 1/7/21

Voilà un journaliste qui a su piquer notre curiosité au vif!

La police aurait eu un deuxième suspect dans le collimateur.

Et un suspect qui connaîtrait Seznec et qui l'aurait même rencontré à Paris le premier juin!

Diable!

La Dépêche de Brest 1/7/23
La Dépêche de Brest 1/7/23

La Dépêche de Brest 1/7/23

Las! Nous avons dû déchanter :

 

La Dépêche de Brest 2/7/23

La Dépêche de Brest 2/7/23

Dès le lendemain 2 juillet la Dépêche nous fait savoir que ses informations ne sont pas meilleures que celles des autres journaux : il s'agissait du même suédois Scherdin, travaillant dans la pâte à papier qui a été mis hors de cause par Bonny soi-même!

 

 

Chez Marc du Ryez "Affaire Quemener-Seznec" :

...article du Matin, qui a des sources de première main  :

 Après la disparition de M. Quemeneur, Sezenec, on le sait, avait déclaré à la famille du disparu que celui-ci avait rendez-vous, à Paris, pour affaires importantes, avec un certain Scherdly, ou Charly, qu’on rechercha en vain par la suite. Or, hier, un publiciste suédois, M. Gylden, s’est présenté au cabinet de M. Darru, commissaire aux délégations judiciaires à la préfecture de police, et lui a déclaré qu’il croyait connaître ce personnage, qu’il aurait rencontré, en 1914, à Stockholm, où il faisait son droit. Né en Suède, il s’appellerait en réalité Gunnar Scherdin, âgé de 35 ans. Il serait venu en France en 1917, où il se serait livré à la propagande bolchevik et antifrançaise, et aurait été expulsé de France en 1919. Mais le décret d’expulsion aurait été rapporté, et Scherdin serait resté à Paris, où il aurait pris un emploi dans une fabrique de pâtes à papier. Il aurait fait alors de fréquents voyages en Bretagne pour y acheter du bois destiné à la fabrication de ces pâtes, et aurait ainsi connu Sezenec.

Son épouse prétend que Scherdin ne s'est jamais rendu en Bretagne. Lui-même n'a pas été interrogé à son retour d'Autriche mais il a porté plainte pour diffamation et a gagné son procès. 

Les mêmes journaux insinuent en même temps ce jour là qu'un morlaisien serait dans le collimateur de la police. 

Kerné qu'on voit en même temps que Seznec à Paris puis au Havre. 

Un si proche de Pierre et Louis Quéméneur, souvent vu avec Seznec les semaines précédant la disparition du CG à dû au minimum s'inquiéter et le chercher lui aussi. Il est probablement lié à l'affaire en tant que partenaire ( courriers de recherche de voitures. Peut-être a-t-il été à Morlaix le secrétaire des promesses de vente contrefaites plus tard par un ripoux coutumier du fait pour faire tomber Seznec et protéger la mafia du Tambour)

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