Le Journal 28 juin 1923

Publié le par Claudine Jourdan Gérard

Le Journal 28 juin 1923

Les deux personnes dont parle cet article sont Melle Quéméneur, la soeur de Pierre Quéméneur et Me Jean Pouliquen, son beau-frère, notaire à Pont l'Abbé.

Le notaire s'étonne et s'offusque de cette promesse de vente faite à son insu.

Normal : le prix semble si dérisoire. Personne ne dit que Pierre Quéméneur avait acheté cette propriété pour 25 000 francs déclarés et le reste perdu dans une autre comptabilité officieuse.

Seznec l'a toujours dit cette promesse de vente était un reçu , une garantie pour la somme remise en dollars-or.

Tout le monde crie à la fraude et aux faux en écritures privées.

Le contrat était peut-être oral et il a fallu le formaliser.

Le contrat était peut-être écrit , mais détruit lors de l'altercation avec Marie-Jeanne et il a fallu le refaire.

Les promesses de vente sont devenues des faux dans l'hystérie collective que la presse a déclenchée en se faisant juge à la place des juges.

Cette histoire est folle!

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